La lettre du Port Boite a photos Outils Echo des quais

tarifs 2017

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TARIFS 2017

Les tarifs appliqués sur le Port de pêche de Saint-Jean-de-Luz/Ciboure sont des tarifs publics. Leur établissement,

la modification de leurs taux, de la structure et des conditions d’application sont soumis à la réglementation en

vigueur et notamment au Code des Ports Maritimes.

Les tarifs doivent être présentés au Conseil portuaire pour avis consultatif.
Ils sont communiqués aux usagers par le concessionnaire sur simple demande.

La CCI Bayonne Pays Basque, concessionnaire, est tenu de respecter une égalité de traitement entre les

usagers du Port qui utilisent, dans les mêmes conditions, les installations et services de la concession.

A télécharger (PDF) : tarifs 2017

 

Escale du paquebot BREMEN

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Le paquebot BREMEN arrivera le 20 octobre 2016 dans la baie de Saint Jean de Luz.

Le paquebot, en provenance de Bordeaux (France) et à destination de Santander (Espagne), transporte

132 passagers, en majorité d'origine allemande.

Ce paquebot a déjà fait escale à St Jean de Luz en 2005.

Informations : Olivier Hautin - 05 59 46 58 81 - Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.

 

ESCALE DU PAQUEBOT NAUTICA LE 26/09/2016

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Le NAUTICA fera escale au Pays Basque le 26 septembre de 07h00 à 23h00, dans la rade de St Jean de Luz.

Le paquebot est en provenance dr Bordeaux (France) et à destination de Bilbao (Espagne) avec à son

bord environ 700 passagers de diverses nationalités dont une majorité d’Américains.

C'est sa première venue dans la rade de St Jean de Luz.

Informations : Olivier Hautin - 05 59 46 58 81 - Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.

 

ESCALE PAQUEBOT SIRENA LE 1er/08/2016

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Le paquebot SIRENA est arrivé lundi 1er août 2016 à 7 h à la baie de Saint Jean de Luz et

repart le même jour à 17 h.

Le paquebot en provenance de Bilbao et à destination du Bordeaux, transporte 666 passagers d'origine

en majorité américaine.

 

Escale des paquebots SIRENA et Christal Symphony le 12 et le 15 août 2016

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Le SIRENA fera escale au Pays Basque le 12 août de 10h00 à 20h00, dans la rade de St Jean de Luz.

Le paquebot est en provenance du Verdon (France) et à destination de Gijon (Espagne) avec à son

bord 501 passagers de diverses nationalités et une majorité d’Américains.

Le Christal Symphony arrive à St Jean de Luz le 15 août 2016 à 7h00 et repart le même jour à 19h00.

Ce n’est pas la première venue de ce paquebot, en provenance de Bordeaux et à destination de Lisbonne.

Il transporte 760 passagers en majorité d’origine américaine mais également d’autres nationalités.

Informations : Olivier Hautin - 05 59 46 58 81 - Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.

 

ESCALE PAQUEBOT CRYSTAL SYMPHONY LE 27/05/16

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crystal symphony 

 

La saison 2016 accueille 16 escales de paquebots de croisière.

C'est un axe de développement dans lequel sont impliqués la communauté portuaire, les partenaires

touristiques et les communes.

Le paquebot Crystal Symphony était prévu d'arriver ce jeudi 26 mai 2016 à 7 h à la baie de Saint Jean de Luz et de

repartir le vendredi 27 mai 2016 à 16 h.

Le Crystal Symphony est arrivé le 27 mai au lieu du 26 à cause de la houle à la baie de St Jean de Luz

Le paquebot en provenance de Bilbao et à destination du Verdon, transporte 922 passagers d'origine

américaine et japonaise.

 

 

 

BILAN 2015 CRIEE SAINT JEAN DE LUZ-CIBOURE

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Au Pays basque le bond de 22,3 % du prix moyen compense largement la baisse du tonnage..  
A 32,91 millions d'euros la halle à marée de Saint-Jean-de-Luz-Ciboure affiche au final un chiffre

d'affaires en progression de 16,2%.

 

La suite dans l'article joint

ordagna-aout2012

 

Inauguration centre administratif de la pêche

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INAUGURATION DU CENTRE ADMINISTRATIF DE LA PECHE
Aile Est des Récollets
Vendredi 6 novembre 2015 à 17h30 au Port de Saint-Jean-de-Luz/Ciboure


Après l’incendie de ses anciens locaux en 2007 et des relogements provisoires, le Centre Administratif

de la Pêche a emménagé en juin 2015 dans ses locaux situés dans l’aile Est des Récollets.

Cet ancien couvent qui date du XVIIe siècle a été réhabilité spécifiquement pour héberger les 14 structures

professionnelles concernées. Concessionnaire du port, la CCI a acquis et rénové le bâtiment pour le compte

de son propriétaire, le Département. Cet investissement de 1,64 million d’euros a été porté par la CCI qui

a bénéficié d’un soutien financier à hauteur de 410 876, 76 € de l’Europe, de l’Etat, de la Région Aquitaine

et du Département des Pyrénées Atlantiques au titre de l’Axe 4 du FEP.  

 

Le métier de crieur au Port de St Jean de Luz / Ciboure

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Pour rencontrer Dominique, il faut se lever tôt. Sa journée débute aux alentours de 4h du matin.

Crieur depuis 36 ans sur le port de St-Jean-de-Luz / Ciboure, Dominique a vu évoluer le métier

et a évolué avec lui.

Le crieur est la personne qui organise, gère et pilote la vente du poisson frais à la criée. Une fois débarqué,

le poisson est pesé et mis en lots dédiés à la vente. Ce travail s’effectue la nuit et doit être terminé vers 4h.

Chaque lot est identifié par un code barre qui sert au crieur pour la génération d’un catalogue papier récapitulatif.

C’est la première mission de Dominique.

 

Criee-St-Jean-de-Luz

Du bâton au clavier

En effet, depuis 1996 et l’entrée de l’informatique à la criée, les méthodes de ventes ont beaucoup changé. «Le métier de crieur a beaucoup évolué avec l’arrivée de l’informatique. Il a fallu changer quelques habitudes mais on y a gagné en temps et traçabilité.» Avant, la vente à la criée se faisait à la voix. « 10 à 20 acheteurs se regroupaient autour des lots de poisson en vente. C’est le crieur qui menait la vente, au bâton. Evidemment, c’était beaucoup plus long et beaucoup plus fatiguant, il fallait crier pendant 2 ou 3 heures. Sans parler des discussions animées voire des litiges à trancher. »

Dorénavant, la vente en elle-même se fait dans un amphithéâtre avec écran géant et pupitres individuels. « Bien sûr, au début il y a eu quelques bugs mais tout le monde a maintenant adhéré à ce nouveau mode de vente. » Car l’arrivée de l’informatique a modifié les habitudes mais aussi les horaires de chacun.

Pour les pêcheurs comme pour les mareyeurs et poissonniers, l’horaire a été avancé. « Les pêcheurs doivent débarquer leur poisson plus tôt pour que le listing de tout le poisson du jour soit prêt avant l’arrivée des premiers acheteurs. Les mareyeurs ont alors un créneau de 2h pour venir voir les lots de poissons. A 6h, je débute la vente. »

Traçabilité, contrôle et gain de temps

De sa cabine, Dominique pilote la vente. Les mareyeurs devant leurs écrans la suivent avec attention. Ils ont chacun un boîtier à disposition pour se positionner sur les lots qui les intéressent. « L’amphi est plutôt silencieux aujourd’hui mais ce n’est pas tous les jours si calme. S’ils ne veulent pas rater de vente, les mareyeurs doivent rester concentrés. Ça va très vite. » En effet, les lots défilent très vite sur les écrans, et le prix encore plus ; à la baisse suite au lancement de l’enchère par Dominique, puis à la hausse si par cas deux acheteurs se positionnent sur la marchandise dans la même fraction de seconde.

L’achat est également devenu anonyme : «  Les mareyeurs ne savent pas ce que font leurs concurrents.» Dominique note un autre grand changement « Ce n’est plus moi qui adjuge, c’est la machine, ce qui a un peu déshumanisé la vente. » Par contre, l’informatique facilite la traçabilité et le contrôle des achats des lots de poissons. « Dès la fin de la vente, le mareyeur repart avec ses achats et son bordereau récapitulatif, espèce par espèce. Il peut contrôler avant de charger sa marchandise. Les bordereaux qu’il fallait venir chercher le lendemain, c’est terminé. »

Le métier de crieur porte maintenant mal son nom mais Dominique l’apprécie toujours autant. Avec l’informatique, il a gagné en efficacité et en traçabilité. « Il y a moins de proximité avec les acheteurs, mais, globalement, c’est une bonne évolution. »

 

Criee-St-Jean-de-Luz-3Criee-St-Jean-de-Luz-2

 

TARIFS 2016

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Les tarifs appliqués sur le Port de pêche de Saint-Jean-de-Luz/Ciboure sont des tarifs publics. Leur établissement,

la modification de leurs taux, de la structure et des conditions d’application sont soumis à la réglementation en

vigueur et notamment au Code des Ports Maritimes.

Les tarifs doivent être présentés au Conseil portuaire pour avis consultatif.
Ils sont communiqués aux usagers par le concessionnaire sur simple demande.

La CCI Bayonne Pays Basque, concessionnaire, est tenu de respecter une égalité de traitement entre les

usagers du Port qui utilisent, dans les mêmes conditions, les installations et services de la concession.

A télécharger (PDF) :

TARIFS

 

 

Assocation UHAINA

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Association Uhaina, apprendre l’art de ramender.
 

L’association Uhaina, la vague en basque, a été créée en 1997. Une soixantaine de familles, d’Hendaye à Capbreton,

adhère à cette association qui mène des actions en faveur des familles de marins. Tous les mardis, elle tient une

permanence dans un local de la criée du port de St-Jean de Luz/Ciboure, mis à disposition pour son activité.

En cette période de l’année, les adhérentes actives de l’association sont en plein préparatifs de l’arbre de Noël ;

animation pour laquelle elles ont récolté des fonds en organisant entre autre la fête du thon, la fête du ttoro ou

encore une braderie.

Installées dans le hall de la criée, rencontre avec Rosette et Irène, ramendeuses à Ciboure.

Depuis 2 ans, l’association a mis en place des formations d’apprentissage du métier de ramendeuse.

Rosette et Irène, ramendeuses à la retraite mais régulièrement en activité sur le port de St Jean de Luz / Ciboure

animent les sessions de formation.

Le constat de départ est assez simple. « Il est temps pour nous de prendre vraiment la retraite. On aimerait

que des jeunes prennent la relève. C’est pour cela qu’on organise ces formations de ramendage. On souhaite

transmettre notre savoir et notre savoir-faire. » En effet, les 2 sœurs travaillent toujours à la réparation

de bolinches dans leur atelier ou au port.

Ramender, plus qu’un métier

Ramender, c’est réparer un filet de pêche. Métier féminin quand il s’agit de réparer les filets des bolincheurs –

la spécialité de Rosette et Irène, il est réservé aux hommes quand il s’agit de réparer les filets de chalut.

Le métier de ramendeuse demande beaucoup d’investissement et de disponibilité. « On peut être appelée

à tout moment pour réparer un filet sur le port. Mais on peut également rester un long moment sans activité.

 Sur le port de St Jean de Luz / Ciboure, on travaille encore pour 4 bolincheurs. L’activité de ramendeuse

dépend de leur activité.  Et depuis quelques années, la tendance est à la baisse. » Bien plus qu’un métier,

c’est une passion… prenante.

Former à ramender

Ces formations ont donc pour vocation de transmettre à une relève éventuelle le savoir-faire des ramendeuses.

« Avant, à l’usine on était une trentaine de ramendeuses à ne faire que ça. Aujourd’hui, sur le port,

nous ne sommes plus que 2. »

Les formations dispensées ont lieu 1 fois par semaine, 2h tous les mardis après-midi. Au programme,

on apprend les techniques de réparation d’un filet, de la couture en cas de déchirure au montage d’un filet complet –

miniature bien entendu, en passant par l’apprentissage de la maille.

Ramender c’est un métier. « On a suivi 3 ans de formation à l’école à 14 ans et on a acquis notre expérience

à l’usine ensuite. A notre époque, le choix était vite fait : l’usine à poisson ou ramendeuse. On a choisi le ramendage. »

Alors ici pas de planning précis mais plutôt l’envie d’apprendre et de transmettre par la pratique

« comme on nous l’a appris à l’école ».

Des formations ouvertes à tous

« Avant la création de l’association, quand nous étions simplement un groupe de femmes de marins, nous

avions suivi une formation à l’ancienne école de pêche, animée par l’aumônier des marins, Mikel Epalza.

Il y a 2 ans, nous avons souhaité relancer cette activité en proposant des formations gratuites et ouvertes à tous. »

C’est ainsi que d’octobre à juin dernier, venus de tout le Pays Basque, des stagiaires assidus sont venus apprendre

les bases du ramendage. « Contrairement à nous, ils sont venus, poussés plus par la curiosité que par la nécessité

ou la volonté d’apprendre un métier. On a même formé des chasseurs pour qu’ils soient capables de réparer leurs

filets dans la palombière. Nous, on aimerait bien former 1 ou 2 femmes de marins.» concluent Rosette et Irène.

 

Si la formation au ramendage vous intéresse, n’hésitez pas à contacter l’association Uhaina au 05 59 47 05 53

 

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Compacteur Polystyrène expansé

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Le port de St-Jean-de-Luz/Ciboure a entrepris la mise en place de la gestion collective et de la valorisation des déchets en Polystyrène expansé (PSE). Cela s’est traduit, à l’été 2014, par l’aménagement d’un local dédié et l’achat d’un compacteur PSE pour la zone des VFDM (Voie Ferrée du Midi). Tout cela a été rendu possible grâce aux financements combinés de la CCI Bayonne Pays Basque, du Conseil Général des Pyrénées Atlantiques, du Conseil Régional d’Aquitaine, de l’Etat et de l’Europe.

L’implantation d’un compacteur PSE dans la zone des VFDM répond à un double constat. D’une part, les caisses en PSE à collecter par le Syndicat Intercommunal pour l'Elimination des Déchets de la Côte Basque Sud (SIED), organisme chargé de la collecte des déchets sur le secteur, prenaient beaucoup trop de place dans le camion de collecte. D’autre part, ces déchets en PSE, collectés en même temps que les déchets dits ménagers, n’étaient pas recyclés.

La mise en place du compacteur PSE répond à ces 2 problématiques : il broie et compacte les caisses en PSE pour en permettre le recyclage, sous sa forme expansée ou sous forme de granules de polystyrène (PS).

Cela implique que les usagers de la zone des VFDM, mareyeurs et poissonneries, participent activement à la gestion de leurs déchets en PSE.

Rencontre avec Jean-Claude Etchegoyen, employé chez Luz Marée, utilisateur du compacteur PSE

Le compacteur se trouve au fond de la zone des VFDM, dans un local aménagé, derrière de grandes portes rouges. « Chaque entreprise a la clé du local. On est 5 entreprises à l’utiliser sur la zone » précise Jean-Claude. « Cela implique que chacun y mette du sien. Au début on a eu des soucis, mais maintenant ça se passe très bien. Il suffit d’un minimum d’implication et de sérieux pour que ça fonctionne. »

Le fonctionnement de la machine en lui-même est plutôt simple. L’utilisateur la remplit avec les caisses en polystyrène, referme la porte, la débloque et lance le compactage. « Il faut faire attention à ne rien mettre d’autre que du polystyrène dans la machine, sous peine qu’elle ne se bloque. Donc avant, on rince les caisses, on enlève les élastiques, les étiquettes et le plastique » assure Jean-Claude en pointant du doigt une poubelle remplie d’étiquettes.

Au fond du local, des palettes de PSE compacté sont filmées. « Ces 12 palettes de pains de PSE, c’est tout ce qu’on a compacté depuis que la machine est en fonctionnement »  précise Jean-Claude. Il faut savoir que le fait de compacter les caisses réduit par 40, au minimum, le volume du PSE. Un gain de place non négligeable vu la quantité de caisses en PSE utiliséechaque jour par les entreprises de la zone. « Chez Luz Marée, un voyage tous les 2 ou 3 jours est suffisant pour gérer notre stock car on ne recycle que de l’emballage perdu. Mais ceux qui font de la vente au détail pour la restauration ont un débit qui peut être 7 fois plus important» commente Jean-Claude par-dessus le bruit de la machine en route. La machine broie et compacte, en moyenne, 80kg de PSE par heure.

«L’avantage du compacteur, c’est que les jours où il y a beaucoup de décaissage, on n’est plus tributaire du passage des éboueurs. Plus besoin de stocker dans l’entreprise les caisses vides qui nous posaient des soucis d’hygiène, d’odeurs et de place dans l’entreprise … quand le vent ne les faisaient pas s’envoler » continue Jean Claude.

Dorénavant, ce stock de caisses est valorisé. Les pains de PSE qui sortent de la machine sont rangés sur des palettes en bois, filmées et empilées. Elles sont prêtes à être chargées dans un camion vers une filière de recyclage. « Cela nous demande un peu de travail supplémentaire mais on prend notre rôle au sérieux : on monte les pains sur les palettes, on laisse l’entrepôt rangé et propre, on prépare les palettes pour le transport », raconte Jean Claude. C’est le prix à payer pour que cette solution, autogérée et collective, soit viable dans le temps. « Même si c’est mon collègue Etienne qui va régulièrement au compacteur, on est une équipe, on fait en sorte que ça tourne, » conclut Jean Claude. Il se dit satisfait du compacteur tout en étant conscient que le fonctionnement du système repose sur la bonne volonté et l’engagement de chacun.

 

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FETE DE LA MER 30 et 31 AOUT 2014

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Les Fêtes de la Mer organisées par la Ville de Ciboure, la Ville de Saint-Jean-de-Luz et l’Amicale des anciens marins, auront lieu du 30 au 31 août 2014.

 

VOICI LE PROGRAMME :

 

 SAMEDI 30 AOUT 2014

 

 8h00 – 11h00 : Concours de pêche en mer « tous poissons » 

 Organisateur : association des usagers de la Nivelle. 

 Inscription : au local de l’association (port Nivelle). Réservé aux membres de l’association 

 9 h30 : Visite guidée de la vieille ville, du port et de la criée de  

 Ciboure, au départ de l’Office de Tourisme de Saint-Jean-de-Luz 

 Durée : environ 1h45min  

 Organisateur : Office de tourisme de Saint-Jean-de-Luz et comité local des pêches 

 10h00-12h00 : Concours de ttoro (plat traditionnel des pêcheurs à base de poissons : lotte, merlu, congre), Halles de Saint-Jean-de-Luz 

 Organisateur : amicale des anciens marins. 

 Animation musicale avec la Tamborrada Marinela et la Kaskarot Banda. 

 Remise des prix à 12h15, sur place. 

 15h30 – 17h00 : Challenge nautique des fêtes de la mer, dans la baie 

 Démonstration / relais d’engins nautiques, bateaux traditionnels et trainières 

 Participants : Ur Yoko, Yacht club Basque, Belharra Watermen Club, Ur Ikara, MNS luziens 

 Organisateur: ville de Saint-Jean-de-Luz 

 19h00 : Repas dégustation du concours de ttoro, à la Grillerie du Port  

 Menu (melon jambon, ttoro, fromage, gâteau basque) 21€ vin compris, servi par l’association Uhaina et les anciens marins  

21h15 : Animation musicale, Place Louis XIV  

 Avec le groupe Xarneg

 

 DIMANCHE 31 AOUT 2014

 

10h15 : Levée des couleurs sur le quai du port de Saint-Jean-de-Luz 

 et départ du cortège officiel vers l’église Saint Jean-Baptiste avec la batterie fanfare Larrundarak 

10h30 : Messe en l’église Saint Jean-Baptiste

11h30 : Départ du cortège officiel vers le port de Saint-Jean-de-Luz 

11h45 : Embarquement des personnalités à bord du Nivelle V (en présence du choeur des marins) et sortie en mer avec les bateaux de pêche et de plaisance

Jet d’une gerbe à la mémoire des marins disparus 

14h00-18h00 : Présentation de bateaux traditionnels en bois et sor­ties en baie, quai du port de Saint-Jean-de-Luz  

Organisateur : association Egurreskoa 

Inscription : le jour de l’événement, sur le port 

 

Pour toute information contacter :

 

Tel : 05 59 51 61 71

 

Site : www.saintjeandeluz.fr 

 

 Facebook/villedesaintjeandeluz 

 

 Tel : 05 59 47 26 06 

 

 Site : www.mairie-ciboure.com 

 

En prélude aux fêtes de la mer cette année :

Escale du Saltillo dans le port, du 27 au 29 août 

Voilier-école de la Escuela técnica superior de nautica y maquinas navales de l’université de Bilbao 

Ouverture du bateau au public le jeudi 28 août  

de 10h à 13h et de 15h à 18h

 

 

 

 

  

 

VENTE DIRECTE - Rencontre avec Véronique COURTIAU

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vente directe 32014

 

Vente directe de poisson

  

Adossé à la criée, un espace de vente directe de la pêche du jour vous accueille 7 jours sur 7, de 7h30 à 12h*. Ouvert depuis 5 ans, l’espace de vente directe vous propose des produits de la mer locaux, frais et de qualité. Cet espace a été construit par la CCI (film vente directe) avec le concours financier de l’Europe, de l’Etat, du Conseil régional d’Aquitaine et du Conseil général des Pyrénées-Atlantiques.

 Rencontre avec Véronique, vendeuse « à la table » de la pêche de l’ « Ordagna ».

Ce qui se développe pour les fruits et les légumes s’applique désormais à la pêche. Trois pêcheurs du port de St-Jean-de-Luz/Ciboure vendent une partie de leur pêche en circuits courts. Installées dans leur pavillon de bois de plus de 110m2, Marina, Véronique et Dominique vendent aux particuliers la pêche locale de leurs 3 bateaux, « Kittara », « Ordagna » et « Agur ». Elles proposent leurs produits « à la table ». « Depuis 5 ans maintenant, nous sommes 3 vendeuses dans l’espace de vente directe à côté de la criée », indique Véronique. « On commence à avoir des habitués mais beaucoup ne connaissent pas l’existence d’un tel endroit sur le port. ».

 

Du pêcheur au consommateur

Sur l’étal, les poissons sont le fruit de la pêche d’un mari, d’un père ou d’un frère. Fraîchement débarqués, les poissons sont mis en vente directement pour le consommateur final. Ici, pas d’intermédiaire, on privilégie les circuits courts.

Mettre en place des circuits courts, c’est soutenir l’économie locale, respecter et promouvoir le travail des pêcheurs et favoriser le contact humain. « L’espace de vente nous permet d’échanger avec les locaux mais aussi les vacanciers de passage », confie Véronique. « Et ça nous permet d’avoir un complément de revenu, même si ce n’est pas l’intérêt principal. On souhaite valoriser le métier de pêcheur et faire découvrir les espèces de poissons de la région.»

 

Les mêmes prix toute lannée

L’intérêt des circuits courts est double. Les consommateurs sont en demande croissante de transparence. En vente directe, la provenance des poissons est connue et clairement affichée. L’intérêt pour le pêcheur est qu’il n’est pas soumis aux variations du cours du poisson, comme à la criée. En effet, les prix de l’espace de vente directe sont fixes tout au long de l’année. Par contre, les poissons y sont vendus entiers, non retravaillés, contrairement en poissonnerie.

 

Pêche locale, produits de saison et de qualité

Les poissons vendus « à la table » sont tous, sans exception, issus de la petite pêche côtière locale du port de St-Jean-de-Luz/Ciboure. Ces 3 bateaux pratiquent une pêche à la ligne et/ou au filet le long des Côtes basques et ne quittent pas le port plus d’une journée. Ainsi, c’est l’assurance de ne trouver à la vente que des espèces locales et de saison.

Ici, on mise tout sur la fraîcheur et la qualité des poissons. Aussitôt débarqués, les poissons sont mis en vente sur les tables. « Alors bien sûr, ne cherchez pas du thon en hiver. La vente directe suit la saisonnalité des espèces présentes le long de la Côte basque », précise Véronique.

 

Vendre du poisson à l’espace de vente directe c’est également une bonne occasion pour faire découvrir et promouvoir le travail des pêcheurs locaux. « C’est mon mari qui part en mer et moi je vends une partie de sa pêche en direct. J’aime le contact avec les clients. Je les conseille et réponds à leurs questions s’ils en ont. C’est vraiment une affaire de famille, je sais de quoi je parle » assure Véronique. « Cet espace a besoin d’un peu de publicité pour se faire connaître et devenir une référence de la vente directe», continue-t-elle. « Notre intérêt est aussi celui des consommateurs. »

 

Informations pratiques

 L’espace de vente directe est ouvert toute l’année, du lundi au dimanche, de 7h30 à 12h*.

 Informations de contact :

adresse : Quai Pascal Elissalt – 64500 Ciboure (à côté de la criée)

Téléphone : 05.59.51.61.15

  

Si le téléphone fixe ne répond pas, n’hésitez pas à contacter :

- Véronique au 06.42.70.61.67

- Marina au 06.64.92.45.32

- Dominique au 06.89.89.73.75

  

*L’ouverture de l’espace de vente directe dépend bien évidemment de la pêche du jour.

  

N’hésitez pas à téléphoner avant de vous déplacer.

 

 

FONDS EUROPEEN DE PECHE

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François Gallet2- Avril2014- V.BiardPour un développement durable des zones de pêche

42 projets ont été financés dans le cadre de l’Axe 4 du Fonds Européen pour la Pêche (FEP) sur

le territoire Côte Basque - Sud Landes pour la période 2009-2013.

François Gallet, animateur local de ce programme, songe déjà avec les autres acteurs de ce territoire

à poursuivre l’aventure via un prochain fonds européen toujours consacré au développement durable

des zones de pêche.

Le Fonds Européen pour la Pêche (FEP) était un fonds structurel comportant cinq axes dédiés au développement

de la filière pêche, doté en France d’un budget global de 181,8 millions d’euros pour la période 2007-2013.

L’Axe 4 de ce FEP proposait 5,45 millions pour un « développement durable des zones de pêche » via un appel

à projets lancé en juin 2008.

Avec le soutien de la Région Aquitaine, des Départements des Pyrénées-Atlantiques et des Landes, ainsi que des Pays « Pays Basque » et « Adour Landes Océanes »,

le Comité interdépartemental des pêches maritimes et des élevages marins Pyrénées-Atlantiques/Landes (CIDPMEM 64-40) décida de répondre à cet appel à projets.

Organisme interprofessionnel paritaire présidé par Serge Larzabal, le CIDPMEM 64-40 est la structure qui représente la pêche professionnelle maritime des Pyrénées-Atlantiques et des Landes.

Cette candidature du groupe Côte Basque - Sud Landes, portée par le CIDPMEM 64-40, a été bâtie sur une stratégie locale définie par l’ensemble des acteurs socio-économiques de

ce territoire avec une gouvernance locale multi-partenariale. François Gallet, océanographe biologiste de formation et disposant d’une grande expérience dans la filière pêche, fût alors

nommé animateur du groupe. Sa mission ? « L’animation-gestion du groupe, l’accompagnement des porteurs de projets, le montage et le suivi des dossiers, l’animation d’une

concertation multi-partenariale pour aider à l’émergence de nouveaux projets, … » répond-il.

42 projets réalisés

Ce furent finalement 42 projets (sur 45 déposés) qui ont été programmés, financés, puis lancés sur ce territoire dans le cadre de ce programme pour un budget global d’un peu plus de 1,5 millions d’euros à ce jour dont 580 000 euros alloués par l’Union européenne, 180 0000 euros par l’Etat et près de 439 000 euros supplémentaires alloués par le Conseil régional d’Aquitaine et les conseils généraux des Pyrénées-Atlantiques et des Landes.

Quatre axes stratégiques avaient été définis : reconnaissance et amélioration de l’image et des métiers de la pêche, valorisation économique locale des produits de la pêche, gestion concertée du milieu marin avec tous les usagers et intégration de la pêche dans les politiques de développement du territoire.

«L’intérêt de l’axe 4 est d’être défini et gérer localement, et de rapprocher les structures de la filière pêche des autres acteurs socio-économiques de ce territoire » précise François Gallet.

Les 42 actions ont été menées par quinze porteurs de projets différents dont six directement issus de la filière pêche locale. Etudes prospectives, opérations de communication et de promotion, aménagements et équipements d’espaces de travail, les projets ont été réalisés avec succès. Si ce programme Axe 4 du FEP prend fin aujourd’hui, il sera remplacé pour la période 2014-2020 par un nouveau programme qui sera mis en place dans le cadre du futur FEAMP (Fonds Européen pour les Affaires Maritimes et la Pêche (FEAMP), et le CIDPMEM 64-40 prépare déjà sa candidature afin de poursuivre la dynamique engagée.


 

pêche à l'algue rouge

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Le port de pêche de Saint-Jean-de-Luz/Ciboure cultive ses différences

Entre pêche côtière et marées de plusieurs jours, les marins de Saint-Jean-de-Luz/Ciboure pratiquent plusieurs types de pêche dont la pêche à l’algue rouge.

En plus des savoir-faire classiques, la pêche à l’algue est pratiquée depuis une quinzaine d’années par quelques bateaux luziens. Cette activité saisonnière, qui démarre mi-septembre pour une durée de 4 à 5 mois, permet de compléter le cycle d’activité de sept bateaux.

L’algue gélidium, appelée « algue rouge », est localisée uniquement sur le littoral basque et sur les côtes du Maroc, d’Indonésie et du Japon. L’algue rouge est arrachée par la houle et ramenée par les courants.

Un « piège à algues » installé à l’arrière du bateau permet de collecter les algues flottant dans les courants. Ainsi, ce sont 1 000 à 1 500 tonnes d’algues qui sont pêchées avant que celles-ci ne s’échouent sur les plages. De cette algue est extraite une solution qui permet de fabriquer la poudre d’agar-agar utilisée dans l’alimentaire et la biotechnologie.

« La pêche traverse des cycles » témoigne Arnaud Ithurria, fils, petit-fils et arrière-petit-fils de pêcheurs du port de Saint-Jean-de-Luz/Ciboure. Arnaud Ithurria illustre bien la diversité des techniques de pêche et des évolutions du métier de pêcheur professionnel. En cette fin janvier 2014, il clôt sa dernière saison de pêche à l’algue et se prépare à réceptionner son nouveau bateau. Son prochain objectif ? Se consacrer uniquement à la pêche à la ligne. Arnaud Ithurria vendra le produit de son travail, dont le renommé « merlu de ligne de Saint-Jean-de-Luz », à la criée du port, « un équipement de qualité comme on en trouve peu sur la façade atlantique » selon lui.

"Cette interview avait été réalisée avant le naufrage du navire Maiatzeko Lorea, sans dommage humain. Nous souhaitons une bonne aventure à Arnaud Ithurria et à son  équipage avec l'arrivée prochaine de son nouveau bateau."

VOIR LES PHOTOS

 

 

FETE DU MERLU 26 et 27 avril 2014

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MERLU   Battit Lahetjuzan - Avril 2014

                                                                                                Battitt Lahetjuzan - Pêcheur de merlu à la ligne

  

La troisième édition de la fête du Merlu -26 et 27 avril 2014-

elle garde le même objectif : promouvoir le Merlu de ligne de Saint-Jean-de-Luz. Cette pêche d’une journée offre une incomparable fraicheur garantie par un étiquetage contrôlé et démontre le savoir-faire des pêcheurs de Saint-Jean-de-Luz.

 

« C’est l’un des plus vieux métiers du port de Saint-Jean » atteste Battit Lahetjuzan, patron de l’Aurrera. C’est dans les eaux profondes du gouf de Capbreton que Battit Lahetjuzan pêche le Merlu à la ligne. Cette technique de pêche à la palangre se pratique avec trois lignes d’environ 1 800 mètres chacune. Elles ne comportent pas plus de 1 500 hameçons sur lesquels il faut placer, à la main, des sardines comme appâts. La pêche dure une journée et le poisson est vendu le jour même avec son étiquette « Merlu de ligne –Saint-Jean-de-Luz »

 

« Une quinzaine de bateaux de moins de douze mètres pratique cette pêche qui garantit une quarantaine d’emplois de pêcheurs ainsi que du travail pour des prestataires de services comme des mareyeurs ou des poissonniers » témoigne Battit Lahetjuzan. Les ligneurs de Saint-Jean-de-Luz/Ciboure exploitent une zone de pêche strictement réglementée. Le merlu de ligne de Saint-Jean-de-Luz  se caractérise par sa fraicheur puisqu’il est débarqué le soir même.

 

On a certes toujours pêché le merlu à Saint-Jean-de-Luz mais depuis quelques années le marché espagnol s’est effondré à cause notamment des bas prix pratiqués par les palangriers espagnols. On s’est alors mobilisé sur le port de Saint-Jean-de-Luz pour faire la promotion de ce produit de qualité auprès de nouveaux consommateurs. Quoi de mieux qu’un événement gastronomique  pour faire découvrir ce poisson à la chair fine et subtile ?

Organisée pour la troisième fois, la fête du Merlu se déroulera les 26 et 27 avril 2014 sur deux sites : le port de Saint-Jean-de-Luz et le port de Ciboure.

Au programme : expositions, conférences, visites dégustations, cours de cuisine gratuits et démonstrations culinaires.

 

Télécharger le programme : PROGRAMME

FETE DU MERLU

 

 

 

CHIFFRES 2013 DE LA CRIEE

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 Les chiffres du marché aux enchères de poisson sont excellents, avec 7.900 tonnes de poisson qui ont transité par le port en 2013, soit une augmentation de 23% par rapport à l’année 2012.

Un chiffre presque historique qui détrône même l’année référence de 2002. Pourtant la pêche au chipiron n’a pas été vraiment sensationnelle en fin d’année 2013, mais la vente au « gré à gré » a permis à la criée de Ciboure d’enregistrer ces chiffres rassurants. Les champions toutes catégories des espèces les plus vendues sont le thon blanc (appelé germon), devant le merlu, la sole, le maquereau et le thon rouge. Grand absent de ce classement de vainqueurs, l’anchois, en chute libre pour cause de modification administrative des périodes de pêche. 

Peio Bilbao, Directeur de la Criée, reconnait que le port de Saint-Jean-de-Luz ne retrouvera certainement jamais sa grandeur d’antan, mais que ces chiffres sont la preuve qu’il se refait une santé. Et côté bonne nouvelle et naissance, souhaitons la bienvenue au petit nouveau de l’année, le chalutier « Saint-Jean Priez pour Nous » de l’armement Dumora.

  

 

la pêche carbure à l’huile de tournesol

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Le « Nahikari » est, avec le « Lapurdi », un des deux bateaux de Saint-Jean-de-Luz à tester l’huile de tournesol comme carburant de substitution au gas-oil. (photo Loïc Fabrègues)

Utiliser l’huile de tournesol à la place du gas-oil : le test prometteur débuté en 2011 sur deux bateaux de pêche de Saint-Jean-de-Luz peut se poursuivre encore 2 ans, grâce aux nouveaux financements trouvés.

L’Institut français des huiles végétales pures (IFHVP) en a obtenu une partie auprès du conseil général des Pyrénées-Atlantiques, et le complément doit venir de la région Aquitaine et de l’Europe. Le but : arriver à la fin de vie des moteurs pour consolider les résultats. Pour l’heure, tous les voyants sont au vert. Et le programme a attiré au Pays basque une délégation finlandaise, repartie avec une convention de collaboration.

Le projet, sous l’égide de France filière pêche, est de remplacer le gas-oil par des huiles alimentaires usagées dès 2014, sous réserve que ce soit autorisé. Le bateau a été choisi : le Crésus, un fileyeur de 14,80 mètres, basé à Capbreton.

 

Les Tarifs

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Les tarifs appliqués sur le Port de pêche de Saint-Jean-de-Luz/Ciboure sont des tarifs publics. Leur établissement, la modification de leurs taux, de la structure et des conditions d’application sont soumis à la réglementation en vigueur et notamment au Code des Ports Maritimes.

Les tarifs doivent être présentés au Conseil portuaire pour avis consultatif.
Ils sont communiqués aux usagers par le concessionnaire sur simple demande.
La CCI Bayonne Pays Basque, concessionnaire, est tenu de respecter une égalité de traitement entre les usagers du Port qui utilisent, dans les mêmes conditions, les installations et services de la concession.

A télécharger (PDF) : TARIFS 2014

 


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